Bébé Ada a adoré. Comme nous, elle n'a pas écouté le long discours du footballer. A pénétré dans un couloir où la lumière du soleil changeait assez rapidement, levé la tête pour suivre les zig zags d'un africain dans l'espace, admiré de jolies robes mi Faubourg St Hononé mi Bamako. Restée longuement à proximité d'un lac artificiel d'Egypte, pour en voir le fond la surface, les côtés. Et puis a bougé la tête d'un côté et de l'autre, vers 4 danseuses noires agitées. Encore du Monnier. Mouais.
Alors a rampé sur la moquette noire pour les toucher. S'est heurtée à un mur blanc. Mince, elles n'étaient pas là, les danseuses. Moment de supplice : une chambre d'enfant aux jouets éparpillés. Mais tu ne dois pas toucher. Seulement écouter de petits enfants plus grands que toi, mais pas tellement, évoquer les rebelles des pays de leurs papas.
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La danse contemporaine et très contemporaine est un peu ici et ailleurs
