vendredi 25 avril 2008

Noces - ANGELIN PRELJOCAJ

1 an et demi d'intervalles entre les deux visions de la pièce. Surtout, je passe du Théâtre de la Ville à la petite salle du CND. Et ça change tout. Misère de la célébrité.
Ce ballet virevoltant devient cruel, manifestation du machisme habituel. Une petite tape sur les fesses au passage, se marier pour une femme : fermer les yeux. Sa robe blanche est un étrange fruit qui pend aux arbres, de ce qui n'est pas un paradis (remember ELDORADO). Très cruel donc, malgré les costumes qui pourraient faire penser à un autre temps. A peine une solidarité féminine s'esquisse-telle, mais elle n'a rien de la bande que forment les mecs avec facilité.
Preljocaj féministe ?