jeudi 6 mars 2008

Le sacre du Printemps - EMMANUEL GAT

Mais ce n'est même plus de la danse, juste une émotion qui vous est enfoncée à vif dans le corps. 3 femmes corbeaux désespérées. De la salsa pour faire croire qu'il pourrait exister des couples. Sûrement une question de séduction. Au final, juste 5 corps écrasés. A l'unisson.
Alors, tant pis pour ce qu'en dit Télérama aujourd'hui "Le Sacre... d'Emmanuel Gat n'atteint pas le niveau de violence, de quasi-lynchage, distillé par une Pina Bausch par exemple.

Ni même l'angoisse sourde obtenue par le nombre chez Maurice Béjart".


Béjart... Faut pas déconner.